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    Exemples de parentalité autoritaire

    Si vous êtes un parent, il est probable que vous tombiez dans l'une des quatre catégories suivantes: permissive, non impliquée, autoritaire et autoritaire. Le parent permissif, le moins exigeant du groupe, a tendance à être très sensible aux besoins émotionnels de son enfant. Cela diffère considérablement de celui du parent non impliqué, qui est souvent détaché. Le parent faisant autorité établit un équilibre parfait entre autonomie et réactivité, ce qui se traduit par des expériences positives entre parents et enfants. Le style parental final - autoritaire - est le plus rigide et le plus exigeant du groupe, et malheureusement, il est le style parental le plus susceptible de produire un enfant anxieux. Parce que le parent autoritaire est toujours en contrôle, il y a peu de possibilités, le cas échéant, pour l'enfant de remettre en question des attentes déraisonnables. Souvent, lorsque l'enfant d'un parent autoritaire ose demander pourquoi, la réponse parentale est "Parce que je l'ai dit."

    Le parent autoritaire est toujours en contrôle. (Image: image de l'homme dans le parc d'hiver de Pavel Losevsky de Fotolia.com)

    Faites ce que je dis - ou autre

    Ne confondez pas les deux: une parentalité autoritaire encourage la discussion entre parent et enfant, la réflexion indépendante et la prise de décision; la parentalité autoritaire s'appuie sur le facteur de la peur pour obtenir le résultat souhaité. Par exemple, si vous êtes un parent autoritaire, vous êtes plus enclin à dire - et non pas demander - à votre enfant d'exécuter une tâche spécifique sans explication. Il n'y a pas de «si, ni de mais», et la résistance est confrontée à une certaine punition. Les parents autoritaires n'ont aucun intérêt à tenir des débats avec leurs enfants. La démarche est strictement "Fais ce que je dis - ou bien". Le redouté "ou bien" invoque la peur chez les enfants de parents autoritaires.

    L'obéissance est une vertu

    Les parents autoritaires exigent l'obéissance et croient que pour atteindre un certain niveau de discipline, il est nécessaire de contrôler tous les aspects du comportement de l'enfant. Avec cette forme de parentalité, pour que l'enfant réussisse à la maison, la conformité est essentielle. Si la parentalité autoritaire est votre truc, la coercition est votre alliée. Ceux qui approchent leurs enfants avec des menaces, des punitions corporelles et des tactiques d'intimidation sont considérés comme des parents autoritaires.

    Je t'aime mais…

    Dans certains cas, la dureté de la discipline autoritaire peut amener un parent à paraître détaché ou insensible. Cela est particulièrement vrai lorsque le parent utilise le retrait amoureux comme moyen de faire comprendre un enfant désobéissant. Dans de tels cas, le parent choisit de ne plus répondre jusqu'à ce que l'affect souhaité soit atteint. En fait, si malgré votre amour, vous avez toujours traité silencieusement votre enfant dans le but de le forcer à respecter vos règles, vous avez adopté le style autoritaire de la parentalité..

    La hausse

    Selon le département de psychologie de l'Université de l'Idaho, les enfants de parents autoritaires, en général, s'en sortent mieux que ceux élevés par des parents permissifs ou non impliqués. Le parent permissif, qui peut être inattentif ou trop impliqué, a tendance à créer un environnement affectueux, mais le manque de structure du style parental encourage une prise de décision médiocre, une désobéissance et un comportement antisocial chez un enfant. Pire encore, le parent non impliqué est indifférent et pour la plupart détaché, avec pour résultat un enfant qui a du mal à exprimer ses émotions et à faire face à l'agression. En un mot, les enfants de parents autoritaires s’adaptent plus facilement au monde que ceux qui sont trop choyés par un parent permissif ou négligés par le parent non impliqué..